Moins de quatre mois après avoir reçu le diagnostic d’une leucémie agressive, Myriam, mère de trois enfants, subit une greffe de cellules souches comme traitement de dernier recours. De sa chambre d’hôpital avec vue sur les lumières du centre-ville, elle refait sa généalogie mi-québécoise, mi-juive marocaine, parcourue de cassures.. C’est dans la dentelle de son ADN que gît l’espoir d’une renaissance : celui d’un don qui pourrait préluder à des retrouvailles avec Aaron, son frère..