Bienvenue au Galant, cette conciergerie aux allures des plus banales, cachée dans une rue calme du Plateau-Mont-Royal, au plus chaud de l’été. La faune qui y file des jours plus ou moins paisibles, de Zach le pusher à Sarah la tueuse à gages, en passant par Takao le bédéiste japonais ou Lulu la punkette du groupe Claudette Abattage, hantera vos songes – ou vos cauchemars – longtemps après que vous aurez refermé le livre. « Rarement a-t-on lu dans une rentrée littéraire un premier roman aussi ambitieux. Et qui mieux est, à la hauteur de ses prétentions. Un pavé de près de 700 pages, environ 150 chapitres, 26 personnages, une histoire maîtrisée au quart de tour. C’est l’heure de découvrir Jean-Simon DesRochers, écrivain jusqu’au bout des ongles, qui dédie son premier roman à “ceux qui ne lisent pas”. » Chantal Guy, La Presse « La Canicule des pauvres est un livre effrayant. Tragique. Terrifiant. Un livre sans concession. » Danielle Laurin, Le Devoir